John Marsden est un amoureux du langage (« mes parents l’utilisaient habilement et de façon séduisante »), des histoires (« Enfant, je lisais deux à trois livres par jour »), et du bush (« J’ai utilisé l’argent de mes écrits pour protéger 1100 hectares de forêt sur les bordures de Melbourne. »). Ses  cours d’écriture au sein de sa propriété, la Tye Estate, sont bien connus. Les écoles de toute l’Australie, Singapour et Indonésie lui envoient régulièrement des groupes d’étudiants, et ils traversent différents pays chaque année pour apprendre l’écriture.

John est actuellement attaché à certains humains, comme à cinq vaches, un mouton, deux singes,  deux chèvres, une poule, quatre pintades, des canards, un cheval et deux chiens, Trevor (« Mon chien Zen ») et Coco (« C’est une très bonne bouillotte »). Continuant de défier la catégorisation, John Marsden atteint maintenant une bien plus grande audience qu’aucun autre auteur australien. Il écrit des histoires puissantes qui sont pleine d’humanité et d’humour, et qui donnent de l’importance à de jeunes personnages. Ses livres sont dévorés dans les écoles primaires, études secondaires et universités, et par les adultes à n’importe quel stade de vie.

Derrière les livres existe un homme qui reste ouvert à ses lecteurs, qui ne lit jamais les critiques, qui n’a aucun intérêt dans les récompenses et qui est déterminé à vivre une vie simple. En 2006 il devient Principal de Candlepark, une petite école  annexe qui est sûrement le plus gros campus du monde. Il occupe 1100 hectares dans les Macedon Ranges au nord de Melbourne.

Depuis, la vie de John Marsden a récemment pris un nouveau tournant. Candlebark avec ses 75 étudiants personnalise nt l’engagement de John pour l’éducation  qui est  imaginative, vivante, spirituelle et  revigorante. Il  y applique les mêmes principes que dans ses écrits, qui sont maintenant lus avidement à travers le monde, mais jamais autant qu’en Australie où les ventes ont dépassé les 2M.

Récemment, John est devenu le 5e auteur à recevoir le prestigieux Lloyd O’Neil Award. Elle suit Ruth Park, Tom Keneally, Morris West et Peter Carey à être honoré pour ses bons et loyaux services à l’industrie du livre en Australie.